FUNERARTY sera présent lors de ce superbe événements - sur les 2 jours. Vous pourrez découvrir cet art de vos propres yeux, vous régaler de couleurs pimpantes et vous faire plaisir ou faire plaisir à ceux qui vous sont dans votre cœur ! JUBLAINS, ville médiévale charmante du 53 - Nord de Laval ----Funerarty remet au goût du jour un art ancien traditionnel français unique - les couronnes mortuaires - à déposer sur les pierres tombales au même titre que des fleurs artificielles. es créations de Funerarty sont faites à partir de fil de fer et de perles de rocaille (dans l'esprit du l'upcycling - où rien ne se jette, tout se récupère), scellées dans des contenants vintage ou neufs. Avec ces petites fleurs, vous perdrez dans le détail des perles enfilées une à une. Ces fleurs peuvent constituer un cadeau unique en toute circonstance, et elles montreront votre goût pour l'artisanat local, le savoir-faire français. J'ai créé mon art de toute pièce en reprenant des techniques...
NÉCESSITÉ DES MOTS PENDANT LE DEUIL Quels sont les mots à utiliser pour aider quelqu'un à traverser sa période de deuil ? Trouver les mots pour réconforter, pour témoigner de sa sympathie ou de son amour pour un proche endeuillé, n’est pas un exercice facile . Au moment où la personne qu’on aime a le plus besoin de notre aide et de notre soutien, nous nous trouvons comme paralysés, étouffés par nos bonnes intentions. Quand survient le deuil les mots peuvent nous sembler dérisoires, vides de sens, inutiles, superficiels ! Mais sans ces mots comment pourrions-nous exprimer notre effroi, notre colère, notre impuissance ? ou au contraire notre amour, nos sentiments, nos émotions. Sans les mots comment pourrions-nous prolonger la présence de celui ou celle que l'on aime ?, ne serait-ce qu’en évoquant sa mémoire, ne serait-ce qu’en évoquant les souvenirs partagés avec lui ou avec elle. Les mots peuvent donc, quelque fois, apaiser la douleur et aider à reprendre le fil de notre vie. A...
Un métier d'autrefois : le fabricant de couronnes mortuaires en perles de rocaille Il y a quelques années, un humoriste a proposé, pour lutter contre le chômage, de relancer des métiers disparus : suisse d'église, conducteur de fiacre ou mousquetaire ! La proposition évidemment ironique m'a conduit à dresser la liste de professions locales disparues : je ne citerai que la rempailleuse de chaises de la place de la Motte nommée... Lachaise. Et il y eut nombre d'autres métiers. Ma mère m'a parlé d'un artisan qu'elle avait connu : le « père Liénart » fabriquait des couronnes mortuaires en perles de rocaille. Se nommant en fait André Léonard, il était le plus souvent désigné par cette appellation bien limousinante. En 1937, il habitait 19 rue du Mas-Loubier et avait son magasin non loin de là, au 26 rue Victor Thuillat. Mal-voyant, il gagnait la vie de sa famille par cette activité exigeant précision et délicatesse. Imagine-t-on le travail et le temps nécessaire...
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